LA MACA: HISTOIRE, ORIGINES ET DOMESTICATION
L’apparition des plantes à fleurs (angiospermes), remomte à 300 millions d’annès, selon les etudes du paléontologue Hill (1996). L’évolution se produit dans les régions du nord, centre et sud du Pérou. Parmi ces plantes on trouve la Maca.
A l’arrive de l’homme dans les Andes, il y a 25 mille ans, il trouve une grande variété des plantes et animaux>; ils étaient alors des cueilleurs qui devaient évolué en chasseurs dans les régions de Lauricocha-Huanuco, et à Junin et Ayacucho. Ils dévéloppent l’éxpérimentation et construisent des outils variés pour la chasse. En même temps, ils ont appris la domestication des plantes et animaux, environ 5 mille ans avant notre ère.
Selon plusieurs evidences, la domestication de la Maca se produit probablement dans la fase tardive du formatif (début de notre ère), dans la Région de San Blas à Junin, par les habitants de Chinchaycocha, de la culture Pumpush. L’espansion du cultive de la Maca dans les milieux écologique Hautandin, serait le travail de la culture Yaru ou Yaro et les Ayamarcas constituait un aliment de consommation courante. Matto (1975), RicK (1979), Antunez de Manolo (1977) Rosttworoswshi (1978), Valdemar (1976), refèrent de la grande habilité des Yaros dans l’élevage et l’agriculture intensive, la Maca entre autres cultures.
Pacheco (1988) parle que les habitants de Bonbonmarca (Junin) pretiquaient un élevage et agreiculture très pormetteurs; ils utilisaient un système d’irrigation à l’aide des canaux qui acheminaient lèau des lacs et lacunes des environs: C’èst ainsi que, dùn point de vue économique, cette région est devenue un centre de récolte de racines de Maca, pommes de terre et des fibres de lama et alpaga (silos de Shungunmarca); et de ce fair les rélations sociales de production se sont établies avec les villages situés sur les Aut. Plateaux de Junin et avec les vallées inter andins de la côte et de la fòret amazonienne. Les échanges se realices par le troc contre le “charki” (viande séchée), fibres de laine, Maca, entre autres.
TAWANTINSUYO
Une fois conquis les Pumpush et les Yaros par les Incas, les Aut. Plateaux de Junin deviennent un centre d’importance politique et stratégique et par là en un point de départ de la distribution des resources entre Cusco et Cajamarca en dont l’efficacité de l’organisation Inca abatí su valoriser et adapter l’expérience séculaire des anciennes cultures.
L’expansion du cultive de la Maca, serait aussi le travail de Collas Venus des Hauts plateaux du sud qui, sous le régime des mitimaes (migration forcé des populations conquises), se sont dédiées au cultive de la Maca, pour devenir de lors les Hauts plateaux de Junin, le point vitale de la jonction entre Cusco et la région de Chinchaycocha. D’après les Chroniques du XVI et XVII siècle, les armées Inca étaient alimentes avec de la Maca, etant donné que l’on attribuait à cette plante la vertu de la vitalité et de la force physique aux combattants:
LA CONQUETTE ET LA VICE¬ROTAUTE
A l’arrivée des espagnols, ceux¬ci ont trouvaient le cultive de la Maca en expansion, à son apogée. C’est ainsi que le chroniquer Bernabé Cobo (1635) raconte que la Maca opuse aux endroit les plus agrotes et froids de la Puna (zone de très haute altitude des Andes) et que les Indiens du Pérou n’ont d’autre pain que la Maca: Un autre chroniquer Antonio Vasquez de Espinoza se refaire qu’il y abatí de cultive de Maca a Castrovirreyna. Cieza de Leon en 1593), commente aussi que le cultive du maïs est moindre dû au froid, mais que neanmoins les plantes font pousser des racines:
Pendant la conquette, et la période du Vice Roi De la Gasca, les colons, en connaissant certains des propriété alimentaires de la Maca, l’ont utilisait pour son alimentation et pour celà les habitants de Chinchaycocha, donnait un tribut annuel de 300 charges de Maca (environ de 15 tonnes) . On suppose aussi qu’ils ont utilisaient la Maca dans l’alimentation des espèces introduites comme le cheval, le porc, ânes et poulets:
Huaman Poma de Ayala (1613), affirme que la Maca est un nutriment que les Indiens utilisent à fin d’obténir de la viguer et une bonne santé et aussi pour soigner certaines maladies, d’où son nom quechua: Taki Oncoy . Selon Pablo Macera, des versus hallucinogènes comme consequance d’une réaction de résistence réligieuse et politique contre la culture du colonisateur espagnol. Il y abatí des danses et des chanys aue, d’après les travaux de Pierre Dubois et un essai inédit de Cristobal de Albornoz
On connait sous le nom de “Confessions de la Maca” et qui sert à obligar ‘a dire la vérité auz personnes designes:
LA REPUBLIQUE
Walpers (1843), pour la première fois identifie scientifiquement l’espècs comme “Lépidium mellen walp” en homage à M Meyennii, qui avait cueillit le première
Un specimen en Pisacoma, dans le département de Puno. De même, Webberbaur (1945), d´crit l’existence de “L.m.w.” entre Candarave et Carumas, dans le département de Moquegua, et qui correspond à la variété “L.m.céelidium”. En 1961 Chacon réalise une étude fitochimique de la Maca et, en 1988 approfondit sa recherche taxonomique, en l’identifiant comme “Lépidium peruvianum chacon sp” (L.m.w.”). Ce non scientifique a été ratifié par les Biologistes de l’Herbier de L’Universite Nationale de San Marcos.
Le nom de Maca, selon Pulgar Vidal (1985), trovient de deux phonèmes de la langue cihbcha: MA, avec une signification de l’origine d’aititude et CA, qui signifie Haut, excellence, bonne nourriture qui fortifie, donc “MACA”.
Il est probable aussi, que la dénimination donné par les Incascorresponde à une justification dans la continuité de leer dononation , grâce à la présence des Ayamarcas, étant donne que , en tant que racine, elle a toujours poussée dans les Andes.
En ce qui concerne la province de Junion, on dit que le nom de Maca, proviendrait du dialogue que voici: Junin Tapum (tapuy=questionner): MA? (une question?) (avoir?). Jug (huk=quelqu’un) ninga (ninay=dire) ni CA! (l’autre dit.” CA” (le voilà).
En conséquance, l’union de deux phonèmes donne MACA (MA: vuelque chose?, CA= La voilà) D’après M Sebastián Huaman, cité par Salazar (1999)
A l’actualité il existe des évidences de la culture de la Maca sur des grandes extensions dans les zones des Hauts plateaux Andins, en territoire péruvien et bolivien.
Malgré ça, la culture actuelle de la Maca est circonscrite à peu d’endroits, y compris quelques endroits tels que la province de junin et les rives du lac Chinchaycocha les hauts plateaux de Bonbon aux Linux dits: Vico, Shelby, Villa de Pasco, Ninacaca à Cerro de PAsco, Carhuamayo, Uco, Huayre, Oidores, Matacancha, Pari, San Pedro de Cajas (Condorin), San Blas, Rimaycancha.
DESCRIPTION ET CARACTERISTIQUES DE LA MACA
La Maca est une ancienne racine d’orige péruvienne, dont les qualités nutritionnelles et énergétiques ont eu une grande importante dans l’alimentaction de Incas.